L’Histoire D’Une Femme Trop Ordinaire

Je me suis dis qu’il était temps, pour moi, de vous conter la vraie histoire de ma vie. Enfin, l’aventure la plus récente que j’ai vécu.
Depuis près de deux ans, je vis avec une femme de 42 ans, bien plus jeune que moi, qui était veuve à notre rencontre. Linda, est maman de deux s (16 et 13 ans) et accessoirement, une voisine. Son mari était un ami et notre relation de voisinage a toujours été très amicale. Il a été emporté par le crabe, en quelques mois. Souvent, il me disait qu’il souhaitait que Linda refasse sa vie avec un mec bien, un peu comme moi (il se trompait sur mon compte, comme tant d’autres !). J’ai toujours trouvé sa femme bandante, mais elle me paraissait très prude et ses tenues vestimentaires m’affligeaient ! Bref, un mois après le décès de son mari, la belle Linda avait du mal à faire face sur tous les plans… C’est tout naturellement et sans arrières pensées que je lui proposais un peu d’aide. Elle accepta sans trop hésiter, consciente qu’elle ne pourrait y parvenir seule. Financièrement, c’était dur. Ses s (une fille et un garçon) ne géraient pas et sa famille comme sa belle famille étaient aux abonnés absents ! Je lui proposais de lui prêter de l’argent et m’assurer que les s gardent le cap. Gênée, elle m’avoua qu’elle ne voyait pas comment elle pourrait me rembourser. C’était un samedi soir, nous étions chez moi et ses s étaient chez des amis à eux. Je lui souris, puis je lui dis :
« Tu as largement tout ce qu’il faut pour me dédommager ! Ton mari voulait que tu refasses ta vie et je pense pouvoir être l’homme de la situation. Si tu es d’accord, met toi toute nue, immédiatement »
Linda blêmit. Je la vis trembler et des larmes coulèrent de ses jolis yeux verts. Elle portait (comme d’habitude) un vilain jean et un tee shirt lamentable. Elle se leva, maladroitement, elle ôta le haut, laissant apparaître un soutif noir contenant deux petits seins très ronds et fermes. Puis, le jean glissa, révélant un tanga noir, très ordinaire.

Les yeux rivés au sol, elle fit glisser le soutif, puis le tanga. Sa chatte de rousse était lisse, sombre et terriblement bandante.
« Bien, à partir de maintenant, tu es ma femelle. Nous allons vivre en couple et tu te pliera au devoir conjugal. Tourne-toi et montre-moi ton cul ! »
Toujours tremblante et larmoyante, elle s’exécuta. Très beau cul, ferme, rond et musclé. Je lui demandais d’écarter ses fesses et elle me présenta une rondelle ultra serrée.
« Ton mari ne t’enculait pas ? »
« Non, je n’aime pas ça. »
« Tu apprendra à aimer ! Nous allons devoir te relooker. Dorénavant, plus de soutif et des strings voir, rien du tout. Des jupes et des robes courtes et moulantes s’imposent. Maintenant, viens t’agenouiller et suce moi ! »
Ce soir là, elle me montra les limites de ses compétences sexuelles. Suceuse très moyenne, bonne baiseuse, mais trop conventionnelle et si étroite du cul, que je du la forcer et lui faire très mal pour l’enculer. Le dimanche soir, elle était définitivement devenue ma compagne et son cul montrait un assouplissement certain.
Durant trois mois, je m’évertuais à faire d’elle une bonne salope et elle se montra assez réceptive. Elle avait adopté mes consignes vestimentaires et elle provoquait de l’émoi chez les mecs qui la croisait. Je lui expliquais, alors, qu’elle devait franchir un cap important. Je voulais l’offrir à un autre homme, pour un trio, puis nous inviterions une femme et plus tard, elle serait amenée à faire du pluralisme intense. Un gang band filmé serait la marque de sa totale adhésion à mon mode de sexualité.
C’est rien d’écrire qu’elle se montra extrêmement peu enthousiaste. Il fallut plus de 6 mois pour que j’obtienne qu’elle « tente » le trio. Je choisis un homme, bi, marié, d’une quarantaine d’années qui prétendait être un bon coup. Ce fut assez lamentable ! Il ne parvint pas à la faire jouir, ce montra bien plus bi (voir même homo) que prévu. En fait, il passa le plus clair de la soirée à me sucer et à se faire enculer, laissant Linda sur sa faim.
Mais, elle ne s’en plaignit pas, car, finalement, elle se dit que cela me dissuaderait de recommencer ! Et, j’avoue avoir douté durant quelques semaines. Le hasard fit que je me trouve dans l’obligation de recruter une nouvelle assistante. Cécile, 35 ans, très jolie femme, grande châtain clair, petits seins et cul de sportive… Nous nous sommes vite pris d’amitié. Elle aimait être sexy et un jour, je lui demandais si cela ne gênait pas son compagnon. Elle éclata de rire et me dit qu’il était très partageur et qu’en plus, il ne se privait pas de s’offrir d’autres femmes. Je ne sais pas pourquoi, mais je lui fis part de mon souhait de faire prendre Linda par un mec bien membré et je lui comptais ma déconvenue passée.
« Je crois que c’est une erreur d’avoir choisi un mec bi. Tu aurais du prendre un type comme mon Charles ! Lui, il la ferait hurler de plaisir toute une nuit durant !!! »
Je me suis, alors, dis que cela était bien tentant. Cécile semblant très ouverte, je lui demandais si elle pourrait obtenir que Charles vienne baiser Linda.
« Tu me donnes des photos et je le lui demande. Mais il faut que ta copine soit très open et qu’elle accepte d’être sa proie ! Il a un côté prédateur qui dérange parfois ! »
Tout ce qu’il me fallait ! Je lui dis qu’elle aurait les photos le soir même sur sa messagerie et je lui demandais si elle était bi. Bingo ! Cécile adorait se faire de jolies salopes !!! Elle était d’accord pour initier Linda, après qu’elle ait été sautée par Charles. J’avoue que cela me semblait trop facile.

Le lendemain matin, Cécile me dit avoir montré les trois photos nues de Linda. Charles la trouvant ultra bandante, il était prêt à la défoncer généreusement ! Quand à elle, elle serait heureuse de pouvoir s’envoyer une aussi belle plante ! Le moins qu’on puisse dire, c’est que ma collègue avait un langage assez évocateur et qu’elle était très enthousiaste. Restait à organiser l’affaire. Cécile me proposa d’inviter Charles à prendre l’apéro, le samedi suivant.
Elle, elle se rendait à Paris, pour régler des problèmes familiaux et il serait heureux de rencontrer le fameux collègue dont elle lui parlait tant. Bien sur, il serait, surtout, excité comme un pou à l’idée d’enfiler Linda. Pour Cécile, il ne fallait pas dire à Linda qu’il venait la baiser, mais lui laisser entendre que cela pouvait arriver. Linda étant assez réticente pour une nouvelle expérience, car elle se doutait que je ne referais pas un aussi « mauvais » choix, il valait mieux laisser Charles opérer ! Il me restait 48 heures pour fantasmer sur cette soirée que j’espérais formidable. Cécile m’avait fourni des photos de Charles, beau gaillard brun, assez fin, qui possédait une bite de 22 cm, pas très épaisse mais d’une rare beauté. Négligemment, je laissais voir les photos à Linda. Du coin de l’œil, je vis qu’elle était très intéressée… je lui glissais une main sous sa nuisette et je constatais qu’elle avait un soupçon de mouille au bord de sa chatte.
« Tu as envie d’une queue comme celle là ? »
« La tienne me suffit, tu le sais. Même si je la trouve un peu grosse ! »
Celle de Charles était incontestablement moins épaisse que la mienne. Mais il avait au moins 5 à 6 centimètres de long en plus et elle était plus droite ! En plus, Cécile me garantissait qu’il pouvait bander plus de 30mn, non stop, avec très peu de temps entre deux bandaisons. Enfin, conformément à mon souhait, il la prendrait sans capote. Ça, c’était primordial !!!
Comme toujours, le samedi, nous avions confié les s à leurs grands parents. Linda revêtit une robe mauve, ultra courte. Pas de sous vêtements, bien entendu. Pour la rendre plus réceptive, je ne l’avais plus baisée depuis deux jours, mais elle m’avait sucé de nombreuses fois !
Charles se montra exquis. Comme nous, il ne buvait pas d’alcool. Après une petite heure de conversation, je lui demandais :
« Comment trouves tu ma femelle ? »
« Splendide et un peu trop sage ! »
« Tu aimerais quoi ? Qu’elle se mette à poil ? »
« Ce serait un bon début… »
« Alors, Linda, toi qui mouillait en regardant la bite de Charles sur les photos, tu vas bien ôter ta robe pour lui montrer tes trésors ! »
« Je suppose que tu veux aussi qu’il participe à nos ébats ? Un trio, c’est ça que tu veux, vieux pervers… »
« Peut être.
Mais il se peut, aussi, que je ne sois que voyeur ! Cécile prétend qu’il est extrêmement performant et j’aimerais voir ça !!! »
Elle haussa les épaules et se levant, elle fit glisser sa robe. Son corps nu, tout à fait lisse, apparut à Charles. Il se leva et sans hésitation, il prit les seins de Linda dans ses mains. Pinçant les tétons, il les fit durcir. Puis, il posa les mains sur les épaules de Linda et la fit s’agenouiller. Ce fut le début d’une longue nuit de baise. Elle le suça avec envie, il la baisa en levrette à mes pieds, l’encula dans la même position. Trois fois elle jouit, avant qu’il ne se vide dans sa chatte. Elle alla se doucher et quand elle revint, il lui ordonna de me sucer. Comme il rebandait, il en profita pour l’enculer une fois de plus. J’étais stupéfait de la voir si réceptive. Il aurait pu lui faire faire tout ce qu’il voulait et il ne s’en priva pas. Elle du jouir trois ou quatre fois encore avant qu’il ne lui demande de le pomper à fond. Moi, je m’étais vidé dans sa bouche depuis longtemps. Il y eut une pause, puis ils allèrent dans la chambre. Deux heures durant, il la prit. Je m’étais installé sur un fauteuil et je la voyais prendre un plaisir inouï. C’est ce jour là que je compris qu’il était plus important, pour moi, de l’offrir que de la posséder. Il fut, également, évident que cette femme aimait les longues bites très résistantes… Elle, si peu épanouie sexuellement, elle se révéla capable de choses sidérantes. Vers 4 heures du matin, épuisés, ils s’endormir. Je me dirigeais vers le salon et dormis sur le canapé. C’est vers 10 heure que je fus réveillé par les hurlements de Linda. Sur le lit, il l’avait attachée par les poignets et lui ayant relevé les jambes bien hautes en les écartant, il l’enculait brutalement. En m’approchant, je vis qu’il utilisait, aussi, un god que j’avais offert à Linda. Elle l’avait dans la chatte. Me voyant, il me dit :
« Elle est faite pour les doubles ! Tu crois que je pourrais lui mettre le god dans le cul, avec ma bite ? »
« Ca vaut le coup d’essayer ! »
« Tu veux bien le lui mettre, ce n’est pas facile pour moi… »
Linda semblait tellement déconnectée, qu’elle me laissa lui planter le god dans le fion, l’écartant plus que quand je lui mettais mon chibre ! Son cul était totalement ouvert et elle hurlait de plaisir et de douleur mêlés…
Une heure plus tard, il partait. Il m’annonça qu’il voulait absolument la baiser régulièrement et que, si je le voulais, il organiserait un gang-band, filmé, avec Linda et Cécile. J’en avais une folle envie et je lui confirmais que, s’il y parvenait, je serais comblé.
Le lundi matin, Cécile me dit que Charles avait été emballé par ma femme et qu’elle avait hâte de pouvoir se régaler d’une telle femelle. Rendez vous fut pris pour le vendredi suivant. Je n’en parlais pas à Linda, mais elle savait que Cécile serait, un jour ou l’autre notre partenaire.
Le vendredi, en rentrant, j’étais accompagné de Cécile et Linda, qui portait une robe ultra courte et rien dessous (à ma demande), compris que c’était le jour où elle allait être initiée. Cécile, elle, portait un tailleur très court aussi. Elle avait retiré son string avant de quitter le boulot et ne portait, comme toujours, pas de soutif.
Nous prîmes un verre de jus de fruits et très vite, Cécile dévoila son vrai visage. Elle ordonna à Linda d’enlever sa robe. Ma femme obéit. Puis, Cécile retroussa sa jupe montrant sa chatte lisse, bien luisante, elle dit :
« Maintenant, viens me lécher la moule. »
Linda n’avait jamais pratiqué une telle caresse. Elle se montra maladroite, mais Cécile lui donna des consignes précises et la rudoya un peu, pour la motiver. Il y eut quelques claques sur le cul de Linda. Lentement, Cécile commença à feuler. Moins de 5 minutes plus tard, Linda recevait une grosse giclée de cyprine en plein visage. Cécile décidé qu’il était temps, pour elle, de goûter le nectar de Linda.
« Donne-moi ta moule, salope ! Pendant ce temps, ton mec va me défoncer la chatte et le cul…Vas y franco, mon gars, j’aime être démontée ! »
C’était une évidence. Cécile était une dominante et elle allait diriger Linda comme telle ! Cela dura plus de deux heures. Je me régalais de ces deux moules et des culs qui allaient avec !!! Cécile étant très dilatée, malgré mon fort diamètre, je nageais un peu dans son fion… Ce fut un moment de pur bonheur et, pour moi, le début de la fin !
En partant, au petit matin, Cécile me déclara que Linda était trop bien pour moi. Elle avait décider de la faire venir chez elle et d’en faire l’esclave sexuelle et le sex toy de son couple. Le pire étant que lorsque je lui demandais ce qu’elle en pensait, Linda déclara qu’elle en rêvait ! Cécile dicta, donc, les règles :
« Linda vivra du Vendredi matin au lundi soir chez nous. Nous allons organiser des partouzes, des gang-bands et autres réjouissances, dont elle sera l’actrice principale. Le milieu libertin qui est le notre va lui ouvrir de nouveaux horizons. Elle va tourner des vidéos qui seront mises en ligne et tu pourras bénéficier d’une copie en avant première. Quand elle sera avec toi, tu pourras faire ce que tu veux d’elle, mais je pense qu’elle sera trop fatiguée pour être hyper active ! De temps à autre, je te laisserais me baiser au boulot, mais ne compte pas que ce soit fréquent. Maintenant, Linda, tu vas enfin devenir une femme… »
Cela se passait il y a près de 6 mois. Aujourd’hui, la vie est telle que Cécile en a décidé. Linda est la plus grosse salope qui est été et elle a réalisé un gang-band avec 30 mecs qui fait d’elle une sorte d’héroïne, d’après Cécile ! Je ne baise plus guère ni l’une ni l’autre. Mais, depuis Août, Camille, la fille de Linda, qui a fêté ses 18 ans, est devenue ma maîtresse. C’est, encore, une idée de Cécile. Elle veut que j’éduque le « petite » pour qu’elle soit apte, dans 4 à 5 ans, à remplacer sa mère ! Camile est beaucoup plus délurée que ne l’était sa mère et c’est un plaisir de la former. Mais, je sens que mon âge me ratt et je sais que, bientôt, je ne serais plus capable de l’assouvir…

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